Carrosserie Pininfarina
Châssis n° ZFFLA40B000097373
Moteur n° 34715
•59 633 kilomètres
•Importante révision récente
•Nouvel embrayage
Dévoilée en 1992, la 512 TR était la dernière mouture de la sensationnelle Testarossa de Ferrari. La Testarossa, vaisseau amiral de Ferrari, ressuscitait un nom mythique de la marque lorsqu'elle fut dévoilée en 1984. Sorte de berlinetta Boxer « nouvelle génération », la Testarossa reprenait le 12 cylindres à plat de 5 litres de sa devancière qui développait désormais une puissance maximale portée à 380 ch à 6 300 tr/min, grâce à sa culasse à quatre soupapes par cylindre. Malgré cette puissance accrue, la douceur et le confort de conduite étaient améliorés, la voiture jouissant d'une excellente souplesse sur le rapport supérieur, alliée à une vitesse de pointe de 290 km/h.
La Testarossa, dessinée par Pininfarina, rivalisait sans problème avec la Lamborghini Countach en termes de présence, les ailettes latérales de ses radiateurs latéraux étant l'un de ses traits les plus spectaculaires – souvent copiés. Plus grosse que la 512 BB – l'accroissement de la largeur avait été dicté par les pneus de plus grande dimension – la Testarossa réussissait l'exploit de combiner un appui élevé avec une trainée limitée, son élégante carrosserie étant caractérisée par l'absence de tout aileron ou autre appendice aérodynamique. Malgré sa taille supérieure à celle de la 512 BB, la Testarossa était plus légère que sa devancière, la carrosserie – à l'exception du toit et des portes en acier – ayant recours, de façon plutôt inhabituelle pour une Ferrari de série, à l'aluminium. L'habitacle faisait appel à des équipements luxueux tels que l'air conditionné, les sièges électriques, le volant inclinable et le cuir intégral.
Contrairement à certaines de ses rivales, la Testarossa était docile et relativement facile à conduire, des qualités qui, alliées à ses performances extraordinaires et à son allure spectaculaire, contribuèrent à générer une très forte et durable demande. En 1992, la 512 TR, une version mise à jour disposant de 428 ch, succédait à la Testarossa originale et dépassait allègrement les 300 km/h. Pininfarina l'avait dotée d'un avant légèrement modifié et la nouvelle venue bénéficiait aussi d'un traitement aérodynamique du soubassement amélioré et de roues de 18 pouces. Un total de 2 280 Ferrari 512 TR avaient été construites, lorsque la production prit fin, en 1994.
Cette 512 TR a bénéficié d'un travail méticuleux incluant une importante révision « moteur sorti » entreprise en 2015 par un grand spécialiste de la marque au Royaume-Uni pour la somme de 7 977 £ (environ 11 000 €). Le travail effectué comprend le remplacement des courroies de distribution et autres courroies de servitude, les autres pièces remplacées étant l'embrayage, les amortisseurs avant, le volant, l'alternateur, la batterie, l'un des radiateurs et divers autres pièces. Les factures au dossier pour ce travail s'élèvent à plus de 19 000 £ (environ 26 000 €) et la voiture est également vendue avec ses papiers d'immatriculation V5C au Royaume-Uni et son manuel de propriétaire.
1993 Ferrari 512 TR Coupé
Coachwork by Pininfarina
Chassis no. ZFFLA40B000097373
Engine no. 34715
•59,633 kilometres recorded
•Recent major service
•New clutch
Introduced in 1992, the 512 TR was one of the final developments of Ferrari's sensational Testarossa supercar. Ferrari's flagship model, the Testarossa revived a famous name from the Italian company's past when it arrived in 1984. A 'next generation' Berlinetta Boxer, the Testarossa retained its predecessor's amidships-mounted, 5.0-litre, flat-12 engine; the latter now boasting a maximum power output raised to 380bhp at 6,300rpm courtesy of four-valve cylinder heads. Despite the power increase, smoothness and driveability were enhanced, the car possessing excellent top gear flexibility allied to a maximum speed of 290km/h.
Rivalling Lamborghini's Countach for presence, the Pininfarina-designed Testarossa succeeded brilliantly, the gill slats feeding air to its side-mounted radiators being one of the modern era's most instantly recognisable – and copied - styling devices. A larger car than the 512 BB - the increase in width being necessary to accommodate wider tyres - the Testarossa managed the trick of combining high downforce with a low coefficient of drag, its graceful body being notable for the absence of extraneous spoilers and other such devices. Despite the increase in size over the 512 BB, the Testarossa was lighter than its predecessor, the body - its steel doors and roof excepted - being, somewhat unusually for a production Ferrari, of aluminium. Luxury touches in the well-equipped cabin included air conditioning, electrically adjustable seats, tilting steering wheel and plentiful leather.
Unlike some of its rivals, the Testarossa possessed light controls and was relatively easy to drive, factors which, allied to its outstanding performance and stunning looks, contributed to an instant and sustained high level of demand. In 1992 the original Testarossa was succeeded by the updated 512 TR version, which came with 428bhp on tap and could easily exceed 300km/h. Pininfarina gave the TR a front-end makeover and the newcomer also gained improved under-body aerodynamics and 18" diameter wheels. A total of 2,280 512 TRs had been made when production ceased in 1994.
This 512 TR benefits from extensive works, including a major 'engine out' service, undertaken in 2015 by a leading UK-based marque specialist. Works carried out included renewing the cam belts and ancillary drive belts, while other parts replaced include the clutch, front shock absorbers, steering wheel, alternator, battery, one of the radiators and many minor items. Bills on file for these works total in excess of £19,000 (approximately €26,000) and the car also comes with a UK V5C registration document and 512TR owners manual.