Châssis n° ZA9DE07A0RLA12958
•Livrée neuve en Norvège
•Modèle à 4 roues motrices
•Environ 15 200 kilomètres d'origine
•Superbe état
Après 17 années de production, la légendaire Countach était remplacée par la Diablo, qui, à sa présentation, était la plus rapide, la plus sophistiquée et la plus chère des Lamborghini jamais produites. Présentée pour la première fois en public à Monaco en janvier 1990, la Diablo était améliorée dans tous les domaines par rapport à son illustre devancière, devenant la référence en matière de supercar. Personne ne fut surpris d'apprendre qu'elle avait été dessinée par Marcello Gandini, le styliste qui avait déjà créé les Lamborghini Miura et Countach, l'air de famille étant indéniable.
Sous la tôle, on trouvait un châssis à caisson hérité de la Countach, mais construit en tubes de section carrée plutôt que ronde et intégrant des zones déformables à l'avant et à l'arrière. L'utilisation de panneaux en fibre de carbone, vus pour la première fois sur la Countach Evoluzione, avait été repris sur la Diablo qui offrait également une suspension améliorée, conçue pour être compatible avec une future version à transmission intégrale et suspension active. Le V12 Lamborghini 48 soupapes porté à 5, 7 litres sur la Diablo recevait pour la première fois une injection, développant 492 ch avec un couple 55% supérieur à celui de la Countach.
Plus puissante avec un coefficient de trainée plus bas que la Countach, la Diablo éclipsait sans difficulté sa devancière, dépassant les 322 km/h lors des essais. Plus important encore, ses performances étaient un peu supérieures à celles de la Ferrari F40. Bien que figurant parmi les voitures les plus chères du monde, la Diablo n'était pas une série limitée comme ses devancières, mais une voiture de série, dotée d'un intérieur luxueusement équipé, démontrant l'intention de ses concepteurs d'offrir une Grand Tourisme civilisée, aussi à l'aise en ville que sur autoroutes. La Diablo VT, une version roadster de type Targa à quatre roues motrices, suivit puis vint ensuite la Diablo SE (Special Edition) dont seulement 150 unités furent construite pour célébrer les 30 ans de Lamborghini comme constructeur automobile.
Ce coupé Diablo VT a été vendu neuf à un client norvégien (facture d'achat au dossier). Grigio (gris) avec sellerie en cuir fauve et moquettes assorties, il est décrit par le vendeur comme en parfait état, n'ayant parcouru que 15 200 km d'origine. Parfait dans ses moindres détails et sans traces de corrosion, le V12 démarre instantanément et tourne parfaitement, comme on est en droit de s'y attendre, tandis que les roues à jante démontable en alliage poli sont chaussées de pneus en bon état. La voiture est vendue avec sa trousse à outils et son manuel d'origine, d'anciens papiers d'immatriculations belge et italienne, ses papiers d'immatriculation V5C en cours au Royaume-Uni et les factures Lamborghini mentionnées plus haut. Elle a fait partie d'une collection d'à peu près 40 voitures en Belgique et a été entretenue régulièrement, mais peu utilisée, ce qui explique son superbe état.
1993 Lamborghini Diablo VT Coupé
Chassis no. ZA9DE07A0RLA12958
•Delivered new to Norway
•Four-wheel drive model
•Circa 15,200 kilometres from new
•Superb condition
After 17 years in production, the legendary Countach was replaced by the Diablo, which on its arrival was the fastest, most advanced and most expensive Lamborghini ever built. First exhibited publicly at Monaco in January 1990, the Diablo improved on its illustrious predecessor in every way, setting a new benchmark in supercar design. Nobody can have been surprised to learn that it had been styled by Marcello Gandini, the man responsible for the Lamborghini Miura and Countach, for the family resemblance was obvious.
Beneath the skin there was a steel spaceframe chassis, developed from the Countach's, but constructed of square-section rather than round tubing and incorporating 'crumple zones' at front and rear. The use of carbon-fibre composite panels, first seen in the Countach Evoluzione model, was extended in the Diablo, which also featured revised suspension capable of accommodating the envisaged future developments of four-wheel drive and active suspension. Stretched to 5.7 litres for the Diablo, Lamborghini's 48-valve V12 engine gained fuel injection for the first time, producing a maximum of 492bhp with 55% more torque than the Countach.
With more power and a lower drag coefficient than the Countach, the Diablo easily eclipsed its forebear, exceeding 322km/h on test. More importantly, its performance figures were marginally better than those of the Ferrari F40. Although one of the world's most expensive cars, the Diablo was not a limited edition model like the latter but a series production car with a luxuriously appointed interior reflecting its designers' intention to produce a civilised Gran Turismo as suited to city streets and motorways as the racetrack. Four-wheel drive Diablo VT and Targa-style open roadster versions soon followed and then came the Diablo SE (Special Edition) only 150 examples of which were built to celebrate Lamborghini's 30 years as a car manufacturer.
This Diablo VT coupé was sold new to a customer in Norway (sales invoice on file). Finished in Grigio (Grey) with tan leather upholstery and matching carpets, it is described by the vendor as in mint condition, having covered only some 15,200 kilometres from new. Well detailed and corrosion free, the magnificent V12 engine starts instantly and is said to run exactly as one would expect, while the polished split-rim alloy wheels are shod with good tyres. The car comes with its original tool kit and book pack; old Belgian and Italian registration documents; current UK V5C registration document; and the aforementioned invoice from Lamborghini. It has resided in a collection of 40 or so cars in Belgium and has been regularly maintained but little used, which accounts for its superb condition.